Clitoris...

Un petit bouton, pour procurer de grands plaisirs. Mais comment ça marche exactement : faut-il le sonner, le tirer, le pousser ? Manuel de base, à compléter par des exercices maison…

Le clitoris, c'est quoi ?

« Clitoris », un drôle de mot. Il vient du grec « kleitoris », jusque-là, d’accord. Mais déjà les interprétations divergent : pour certains, cela signifie « monticule », pour d’autres « clef », ou même « verrou ». L’endroit donne raison à toutes les significations : c’est effectivement une sorte de « bourgeon » qui émerge (plus ou moins) du haut du sexe féminin, un peu dissimulé sous les grandes lèvres. Mais c’est aussi la « clef » du plaisir pour beaucoup de femmes…

A cela, une raison bien technique : c’est précisément là qu’on trouve la plus grande concentration de terminaisons nerveuses ! Plus de 8000 réunies sur ce petit bout de chair – même les hommes n’en ont pas autant sur le gland (seulement la moitié)… on comprend mieux que chaque attouchement à cet endroit ultra-sensible puisse être délicieux ou au contraire douloureux, selon chacune et selon le moment.

Et toute cette merveille, sans autre but que de servir le plaisir ! En effet, le clitoris n’a pas d’autre fonction. Explication : à l’origine, chaque fœtus possède un début d’organes sexuels. Chez les filles, les seins se développeront et elles garderont un clitoris… tandis que chez les garçons, ce sera le pénis qui grandira et les tétons qui resteront à l’état d’ébauche. Dans les deux cas, des atouts supplémentaires pour la sensualité !

Comment ça fonctionne ?

Alors, quel rôle joue exactement le clitoris dans la sexualité féminine ? Enorme ! Contrairement à ce qu’on croit souvent, il n’y a pas deux types d’orgasmes clairement séparés, le « clitoridien » et le « vaginal ». En réalité, le premier peut souvent mener au second, plus difficile à atteindre… La caresse du clitoris, qu’elle se fasse en solo ou en duo, seule ou pendant l’amour, est pour la plupart des filles le chemin le plus direct vers le plaisir.

Evidemment, pour certaines ce n’est pas toujours facile de l’intégrer à leur vie amoureuse… La clé : d’abord, bien se connaître soi-même et expérimenter seule les sensations, afin de savoir à fond ce qui vous fait du bien et de commencer à se lâcher. Ensuite, communiquer ! Avis aux timides : ça ne signifie pas forcément poser ses exigences à son chéri à froid, un midi devant un kebab. Attendez plutôt le feu de l’action. Des soupirs enthousiastes lorsqu’il s’approche de la zone, une main sur la sienne pour le guider au bon endroit… ce genre de suggestions fonctionne souvent aussi bien !

Mais il faut s’y prendre avec douceur : en tant que point hautement sensible, le clitoris supporte souvent mal qu’on le touche trop fort ou trop directement. Des caresses tout autour – sur son capuchon, sur les grandes et les petites lèvres de la vulve, des pressions sur le pubis en général – peuvent être mieux acceptées, surtout au début. Quant aux modalités pratiques – avec les doigts, la langue, ou des accessoires… c’est à chaque couple de choisir ses préférences ! Les Italiens, toujours poètes, appellent cette caresse « jouer de la mandoline ». Joli, non ?

Halte aux idées reçues !

Malgré tous ses avantages, le clitoris n’a pas toujours été bien vu – dans tous les sens du terme… Son aptitude à donner du plaisir aux femmes sans passer forcément par le pénis a longtemps paru suspect. On a prétendu que la masturbation féminine rendait hystérique. Freud lui-même, pourtant grand psychologue sur d’autres domaines, a qualifié l’orgasme clitoridien « d’infantile », comme si seul l’orgasme vaginal était digne d’une « vraie » femme. Quant à la science, elle a carrément oublié le clitoris jusqu’à très récemment : à peine si l’on savait où il était situé !

Mais il y a pire. Bien sûr, on pense tout de suite à l’excision : cette coutume, encore en usage dans certaines régions d’Afrique, de « purifier » une fille en lui tranchant le clitoris, parfois même également les petites et les grandes lèvres. Aujourd’hui, l’Organisation Mondiale de la Santé estime à 130 millions le nombre de femmes excisées dans le monde, dont le plaisir sexuel est donc définitivement réduit à néant, sans parler des risques de santé.

Toutefois, on ignore souvent que d’autres pratiques pas si orthodoxes ont cours en Occident. Aux Etats-Unis par exemple, les bébés filles dont on trouve le clitoris trop grand subissent souvent des « corrections » pour lui redonner une taille « normale » : 2000 opérations de ce genre seraient pratiquées chaque année… Bref, le vôtre est intact ? Alors saisissez votre chance et… profitez-en !

les post clitoris et apres le mamellon

bon bah jatten le post

What? what? you don t like it?...everyone is not a doctor and does not know all about it!

trés bon post

thanks!

c pas ke jaime pas mé bon j'aime pas enfin voila j'aime pas non pas je j'aime ce que j'aime mé jaime pas ce ke j'aime pas
voila cT la phrase du jour qui vuex rien dire aller je vous laisse g un TP d'antibiothérapie ki matten trop bien

antibiotherapie...oulala ca a l air complique tout ca!
et tu n as meme pas fait une faute frappe sur ce mot!
bon courage!

de l'art de se la péter ...

bon courage tit monsieur qui dit des mots bizarres

en fait c est quoi antibiotherapie?!
anti = contre
bio = bio
therapie = therapie
=>contre la therapie de la bio!
=>contre la biotherapie!
ouai d accord ca veut rien dire mais bon c est rigolo!